Empenneler reste contesté: seule la première ancre s'enfouit. Embosser, je le pratique en mouillant court l'arrière et quand il n'y a personne autour. J'ai tenu avec + de 40nds de vent: l'ancre arrière réduit le pendulage du bateau. Si le vent tourne à 90°, ou même à 180°, l'ancre arrière chasse doucement et évite ainsi le décrochage brutal de l'ancre avant.
J'aime bien mouiller en lestant la ligne de mouillage avec une gueuse ou meme l'ancre principale. Ainsi la chaine tire plus horizontalement et ça tient meme avec une ancre légère
Question: si le hale-bas sert à tendre la chute (et donc d'augmenter la puissance de la GV - petit temps?), pourquoi se soucier alors de soulever mécaniquement la bôme dans le petit temps avec un hale-bas rigide, donc d'ouvrir la chute ce qui ....libère la puissance alors que je suppose qu'on la cherche justement la puissance à ce moment-là ??
J'ai trouvé sur le site de "www.sailworks.net" une autre variante de dériveur lesté qui échoue comme l'Intégral 43 de Peter Gallinelli . Une sorte de dériveur lesté, mais des dérives latérales remplacent la dérive intégrée dans le lest. Curieux que d'autres chantiers n'aient pas essayé ce système !.
concernant les biquilles type RM il faut rendre à César ce qui revient à César. ce type de quilles fines a été inventée par DOMINIQUE PAULET qui en a confié les plans à Bruno Devriese pour une
construction amateur. Il en a étendu l’usage aux RM.
Si l'on veut connaître la distance en miles nautiques lorsque l'on navigue sur un parallèle différent de l'équateur, il faut multiplier l'arc parcouru en minutes d'angle par le cosinus de la latitude le long de laquelle on navigue. Et pour la distance réelle parcourue en naviguant tous azimuths, appliquez le théorème de Pythagore avec : distance Lat au carré + distance Lon au carré, et prenez la racine carrée du résultat. (les distances étant évidemment exprimées en Nm) . La terre n'est évidemment pas parfaitement sphérique, mais les GPS et autres équipemenst de navigation utilisent le modèle WGS84 pour calculer exactement les distances corrigées des imperfections terrestres.
"À cela s'ajoute le phénomène d'upwelling: le vent de terre repousse au large l'eau de surfaces, laissant ainsi remonter de l'eau plus profonde donc plus froide."
Bonjour.
Je suis d'accord avec ça. Le phénomène d'upwelling S'AJOUTE. Dans de nombreux écrits, il est dit que ce phénomène est responsable de la chute de température de l'eau de mer par mistral. A mon avis, c'est aller un peu vite et vous avez raison d'en minimiser l'importance dans votre article. Quiconque possède une piscine en Provence y constatera une chute de la température de l'eau par mistral. Or, dans une piscine, pas d'upwelling évidemment (où irait l'eau) ? Le week-end dernier, après 3 jours de mistral à 40 nœuds, la mienne est passée de 31° à 24°. Le mistral, froid et sec, refroidit la mer en augmentant l'échange thermique, un peu comme on souffle sur la surface d'une tasse de café pour le refroidir. C'est là, à mon avis, la cause principale de ce changement rapide de température.
