Winch
1 Page sur Yacht-Club.com
La dérive quart de brie et l’hélice fixe limitent les performances du Tofinou. Mais ce voilier reste toujours agréable à barrer.
Conseiller
Conseiller
Claude Millot
Je préfère quant à moi utiliser la solution naturelle... mentionnée dans la 1ère phrase de l'article. Si vous avez la chance (sic) d'avoir votre hélice recouverte de petits coquillages, ne surtout pas les gratter mais profiter de leur accroche exceptionnelle et de l'isolation qu'ils procurent: juste les poncer, éventuellement les enduire pour faire une surface aussi lisse que possible, et peindre à l'antifouling utilisé pour la coque...
Bruno Cotté
La plupart des bateaux autour du monde utilisent propspeed et c est un super produit qui tient parfairement 24 mois si très bien appliqué mais il est très cher . On en trouve partout de Technimarine à Tahiti seul chantier de Polynésie à soulever des bateaux de plus de 22 tonnes ou partout en Nouvelle Zélande beaucoup beaucoup moins cher que la Nouvelke Caledonie ou la Polynésie française
Un second tour du monde pour Gipsy Moth IV
Conseiller
Conseiller
Patrice Flottes
Un peu plus grand que le LUGGER, qui n'a pas de cabine et avec lequel Webb Chiles a "presque" fait le tour du monde dans des conditions que l'on peut imaginer difficiles. Le fait qu'il ne soit pas auto-videur est gênant, même au port ou la seule pluie peut le remplir. Quand il est plein d'eau, il est difficile à vider, l'eau entre par le puits de dérive.
Je pense qu'il ne serait pas bien difficile de régler le problème en rehaussant les assises et le fond du cockpit d'autant que le franc-bord manque un peu de hauteur. Pour le prix neuf, effectivement très élevé, cette évolution pourrait être prévue par le chantier. Si vous vous faites livrer depuis l'Angleterre où il est plus facile à trouver, attention aux remorques qui ne correspondent pas au code européen.
Conseiller
Conseiller
Conseiller
Conseiller
Trawler sur la côte Est des USA
Conseiller
Eric Andlauer
Bonjour
Il existe une alternative du passage du voilier au bateau à moteur. Il s’agit du gréement de jonque qui est tellement facile à mettre en oeuvre qu’il permet de continuer à pratiquer, pendant quelques années, la voile lorsque les efforts demandés par le gréement bermudien deviennent trop importants. Rien n’est tendu, on ne va pas sur le pont, il n’y a pas de foc, les virements et les empannages se passent sans toucher aux écoutes, les réductions et augmentations de voilure sont quasiment instantanées et sans effort…. En plus, le gréement de jonque est joli et aussi efficace qu’un gréement bermudien.
Le seul problème, actuellement, est qu’aucun chantier ne propose de gréement de jonque. Il reste le marché de l’occasion ou la conversion de gréement.
Eric Andlauer sailsec@junkrigassociation.org
Patrick G.
Super initiative Éric.
Conseiller
Dominique Montesinos
Un excellent bateau de croisière hauturière, rapide à toutes les allures et solidement construit. Un grande réussite du chantier Jeanneau.
Jean-pierre Guelain
Kakawi 1984
Conseiller
Joshua au Grand Pavois 2016
Conseiller
Isabelle Monsch-beauchard
c'est gnial, exactement le bteau de mes rves ...
Nouredine Yachaal
dire que j"ai traversee l'atlantique avec ce bateau