Tout à fait d'accord avec le contenu de cet article, même si j'ai commencé par la croisière puis je me suis tourné vers le dériveur pour parfaire ma formation. Le passage par la caravelle me semble être une étape incontournable.
Merci Chloe pour ce bel article qui ne manque pas de donner envie. J'ajouterai que pour s'initier en douceur l'équipement doit être simple à utiliser et inspirer la sécurité. Idéalement autoredressable et biensur incoulable. Cerise sur le gateau : évolutif pour continuer à se perfectionner sans changer de matériel. Le mini-voilier La Gazelle des Sables fait des merveilles depuis 2005, par exemple. A decouvrir sur
On distingue Nordic Foklboat qui est à clin de l' International Folkboat ( IF construit en Suède par Marieholm) qui a une coque lisse sans clin. le Marieholm 26 est une variante de l' IF. da coque a un peu plus de franc-bord et est plus orienté croisière.
Belle histoire et pourvu qu'elle dure longtemps ! Le récit ne dit cependant pas combien de temps ce muscadet a passé sur sa remorque et sous hangar. Attention aux embarcations en bois "moderne", contreplaqué ou bois moulé qui peuvent très mal évoluer s'ils ne sont pas stockés à l'abri (notamment de la pluie). L'état de Pen Duick II ou de Damien avant rénovation n'était pas très reluisant. Quand aux boulons de quille ou axe de dérive en bonne ferraille, galvanisée ou pas et parfaitement indémontables, je vous laisse juge.
Idem pour mon proto 6.5 en CP acquis en 1999 ; ce sont des bateaux facile a assumer , avec de belles capacité de navigation ; je rêve de retourner en Espagne avec le mien ; mais mon fils est déjà assez aguerri pour faire Fouras -l'Ile d'yeux d'une traite ; prochain défi : Fouras- Belle-Ile ...
2017, construction d'un Oselvar, petit drakkar de 5 m, à clins, voile et avirons, suivant les conseils d'Estoniens, et d'un atelier naval de Bergen ... Pour des photos ou détails, yfiquet@wanadoo.fr
