Gilet de sauvetage
Gilet de sauvetage

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Coucher de soleil sur l'atlantique annonçant le début de nuit

Eric Boidin
Eric Boidin
Sur ma brassière, j'accroche un cyalume et une VHF.
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 Claude mach
Claude mach
merci pour ces précisions trés utile
 Gerard marty
Gerard marty
Merci pour ces informations
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Yo Yo
Yo Yo
ca signifie que c'est l'heure de l'apero
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Mise à l'eau d'un semi-rigide Zeppelin.

Rasmus Fereto
Rasmus Fereto
Je mets mon bateau (coque dure 6.5m) à l'eau régulièrement seul, ça permet d'être plus concentré et de ne pas m'engueuler avec ma coéquipière :-) .Sachant que l'ennemi, c'est le vent qui a tendance à faire pivoter le bateau dès qu'il n'est plus sur la remorque ce qui nous force à courir plusieurs fois entre le treuil pour (dé)rouler la sangle et l'étrave du bateau pour le retenir -au risque de se casser la gueule sur la cale glissante- , ma technique repose sur 3 piliers: 1) Il faut accepter de se mouiller (donc port du short et de chaussures de plage) et ne pas tenter de rester au sec en essayant de se tenir en équilibre sur la remorque: chute assurée! 2) Deux grands bouts reliés à un taquet AV et à un taquet AR pour assurer le bateau. 3) Ma vie à changé depuis que j'ai installé un treuil électrique qui permet de tenir le bateau à la main tout en (dé)roulant le treuil à l'aide de la télécommande sans fil.
Patrice Flottes
Patrice Flottes
Remorque "immergeable" ou pas, ne jamais mettre les roues dans l'eau. (protection des roulements et des freins éventuels). Ne pas oublier de retirer la plaque signalétique et les feux. Fixer un profilé métallique (tôle perforée alu) sur la remorque pour ne pas jouer l'acrobate sur les profilés. Attention à la position du seuil en extrémité de rampe, si les roues chutent derrière ce seuil, gros problème. En sortant le bateau, laisser la remorque sur la pente pour évacuer l'eau éventuellement présente dans les profilés immergés.
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Les célèbres tourbillons du Corryvreckan

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Christian Lemasson
Christian Lemasson
Quand ? L'article est très bien, mais pour sensibiliser au risque, ce serait une bonne idée d'illustrer par des exemples de cas concrets pour ceux qui découvrent le nautisme.
José Rodrigues
José Rodrigues
On ne connait pas la bonne réponse pour le permis ! Si cette question est susceptible d'être posée ?
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André Delcher
André Delcher
président d'un club de pêche au Havre, 190 licenciés pour environ 140 bateaux individuels, nous recherchons un stage pour faire habiliter deux ou trois personnes adhérentes de notre association pour faire en interne des visites préventives qui seraient moins couteuses que cette proposition de 35 à 50€ mes coordonnées :
André Delcher président APPLH Le Havre76 adresse mail : a.delcher@orange.fr tél : 06.31.28.08.18
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Jean-bertrand Mothes-massé
Jean-bertrand Mothes-massé
Je ne peux que conseiller à tous les plaisanciers qui font de la haute mer de suivre un stage d'entrainement à la survie, pendant lesquels on traite de tous les éléments de sécurité à prendre en compte, et surtout se familiariser avec ces éléments. Anticiper, comme il est très bien dit dans cet article. Et un coup de vent deviendra un plaisir. Ces stages sont organisés sous l'égide de la Fédération Française de Voile auprès de Centres Spécialisés Habilités. A noter que le niveau de ces stages est celui qui est obligatoire pour les coureurs au large. Stage dits "World Sailing", renseignements jb.mothesmasse@ffvoile.fr
Erica Humbert-droz
Erica Humbert-droz
Un souvenir! Vous avez dit « tempête » ? Au large de Bastia Je n'oublierai jamais ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer. Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours. Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur! L'anémomètre en bout de course! A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large? Ou, "tirer des bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ? Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussée à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment. Des bottes plus qu'utiles! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente: "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?" Je parle au bateau: "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service… Aller au WC ? Exclu! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes! Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face au vent…! Merci, la Capitainerie! Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise: pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre! C'est la capitainerie qui (me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide. Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns!! 2010, soit 10 ans après. J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée! Aujourd’hui, lorsqu’un candidat au permis mer me dit : « J’ai fait une croisière en Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens pour faire des Milles dans une mer calme, « pour touristes ! Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je,? Ceux m’annonçant avec un visage vert : Ah non, j'abandonne ! Je veux débarquer. Ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! » Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu ! Erica Humbert-Droz
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