Harnais
Harnais

1 professionnel du nautisme

Les bâtiments de SECUMAR à Holm

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Erwan Malgven
Erwan Malgven
Et les chats ?
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Enfant en navigation - la jolie Clémence

Martin Lenain
Martin Lenain
C'est nouveau cette mode, cette habitude de la SNSM de donner des conseils (qu n'ont d'ailleurs rien d'original) Que la SNSM reste donc dans son rôle, le sauvetage en mer, et s' occupe de balayer devant sa porte, en formant mieux son personnel par exemple !
Alain Moineau
Alain Moineau
La SNSM est dans son rôle de faire de la prévention avec des conseils. Rappelons que ce sont des bénévoles et parfois payent un lourd tribut pour sauver des vies
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Raz de Sein et ses courants violents

Dominique Raoul
Dominique Raoul
J'ajouterais : - même au moteur garder un peu de toile pour appuyer le bateau, - sur mer très courte prendre les vagues de face avec un léger angle puis amortir la "chute" en abattant dans le creux, - si la houle est face au courant, je me présente toujours face au raz avec un peu d'avance (1/2h) afin d'être repoussé par le courant et, lorsqu'il s'inverse, prout, je passe au meilleur moment. Merci pour la photo du tourduf
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Christian Lemasson
Christian Lemasson
C'est triste de lire ces citations à postériori, même les grands marins, ne s'appliquent pas à chaque instant, les règles qu'ils se sont fixées. Je pense au capelage et à la ligne de vie. Il suffit d'un instant...
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Patrick Leblanc
Patrick Leblanc
Enfin, enfin une jonque dans ce magazine ! Oh, que nous aimerions en voir plus souvent, nous les "rebelles" qui sommes tombés amoureux de ce gréement, et ne pouvons plus concevoir une autre façon de naviguer ! Pour sa facilité (je barre ma goélette comme un Optimist), sa sécurité (chaque panneau de voile est un ris - 5 à 7 par voile -, que l'on prend ou qu'on largue en quelques secondes depuis le cockpit, sans changer de cap), son aspect économique (pas de haubans ni de coûteux accastillage inox ou carbone), et aussi pour le plaisir de barrer un gréement original qui ne laisse personne indifférent. Allez, quelques recherches sur le web, du côté du site de la JRA ( https://www.junkrigassociation.org/ ) par exemple. Et aucun d'entre nous n'est avare d'explications !
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 Claude mach
Claude mach
merci pour ces précisions trés utile
 Gerard marty
Gerard marty
Merci pour ces informations
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Stephane meteo-formation
Stephane meteo-formation
merci pour cet article; actuellement il me semble difficile de passer à travers un épisode venteux avec des rafales à 60kt
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Jean-bertrand Mothes-massé
Jean-bertrand Mothes-massé
Je ne peux que conseiller à tous les plaisanciers qui font de la haute mer de suivre un stage d'entrainement à la survie, pendant lesquels on traite de tous les éléments de sécurité à prendre en compte, et surtout se familiariser avec ces éléments. Anticiper, comme il est très bien dit dans cet article. Et un coup de vent deviendra un plaisir. Ces stages sont organisés sous l'égide de la Fédération Française de Voile auprès de Centres Spécialisés Habilités. A noter que le niveau de ces stages est celui qui est obligatoire pour les coureurs au large. Stage dits "World Sailing", renseignements jb.mothesmasse@ffvoile.fr
Erica Humbert-droz
Erica Humbert-droz
Un souvenir! Vous avez dit « tempête » ? Au large de Bastia Je n'oublierai jamais ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer. Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours. Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur! L'anémomètre en bout de course! A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large? Ou, "tirer des bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ? Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussée à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment. Des bottes plus qu'utiles! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente: "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?" Je parle au bateau: "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service… Aller au WC ? Exclu! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes! Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face au vent…! Merci, la Capitainerie! Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise: pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre! C'est la capitainerie qui (me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide. Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns!! 2010, soit 10 ans après. J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée! Aujourd’hui, lorsqu’un candidat au permis mer me dit : « J’ai fait une croisière en Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens pour faire des Milles dans une mer calme, « pour touristes ! Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je,? Ceux m’annonçant avec un visage vert : Ah non, j'abandonne ! Je veux débarquer. Ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! » Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu ! Erica Humbert-Droz
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David Adrian
David Adrian
Bonjour, Je voulais vous signaler le kit de plongée sous-marine EAZYDIVE, tout spécialement conçu pour les plaisanciers, d'un concept innovant car il est en basse pression et ne nécessite donc pas de ré-épreuves. Pour un tarif équivalent à ses concurrents, comprend aussi un compresseur qui se branche sur les batteries et permet donc une totale autonomie à bord. Il permet des plongées soit avec une bouteille, en plongée autonome, soit avec un narguilé, jusqu'à une heure de plongée. Tous renseignements et tarifs sur www.eazydive.com
Eazydive, kit de plongée sous-marine basse pression

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Patrice Flottes
Patrice Flottes
Les bouteilles HP doivent être inspectées tous les ans et les centres de ré-épreuve refusent de tester les bouteilles de moins de xl (x variable, de l'ordre de 3l). Dans tous les cas, tout le matériel doit être soigneusement entretenu (compresseur, filtres, flexibles, 1er et deuxième étage détendeur, qualité de l'air comprimé, etc). Passage par une formation dans un centre de plongée très fortement conseillé et veiller à rester dans les limites des prérogatives liées à votre formation. J'ai vu un plongeur sur une civière se faire épingler une amende de 80€ sur la combinaison par la gendarmerie. Les enregistrements sur son ordinateur de plongée montraient qu'il n'avait pas respectées les dites prérogatives.
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On se comprend mieux lorsqu'on parle le même langage

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