Antifouling permanent
Antifouling permanent

Pascal Vauguin
Pascal Vauguin
il faut essayer, je n'ai encore pas trouver la solution optimale pour mon hélice!
Claude Scheers
Claude Scheers
Je tres fortement intéressé, mais
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Frédérique Boësse
Frédérique Boësse
Bonjour, et la bache elle-meme ne se salit pas trop? J'ai équipé les safrans de mon petit bateau de housses en PVC sur le meme principe, ça marche bien mais les housses sont vite très sales! Comment faites-vous? Merci
Lucie Doriez
Lucie Doriez
Bonjour Frédérique, Les housses sont réalisées dans un tissu très technique qui est souple, donc les mollusques ne s'accrochent pas, des algues peuvent éventuellement s'accrocher suivant la température de l'eau et l'endroit mais elles partent facilement avec de l'eau et un balai de pont.En tout cas ça restera toujours beaucoup moins sale qu'une coque et c'est beaucoup, beaucoup plus facile à nettoyer ;)
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Laurent Belzunce
Laurent Belzunce
Propriétaire d’un white shark 226 acheté en 2012, j’ai décidé, après plus de 10 ans d’antifouling à raison de 2 couches par an, de faire appel à la société Aérotech 66 pour faire un aérogommage et remettre la coque à nue. Super travail, entreprise très compétente. Parallèlement, je suis tombé en janvier 23, sur un article dans Moteur Boat qui présentait ce nouvel antifouling, le Parafouling de la société Prisme. À la lecture de l’article, j’ai été séduit à l’idée de pouvoir substituer mon Boéro Altura 619 matrice dure par ce nouveau produit décrit comme efficace, écologique, anti-adhérent, permettant de garder la coque propre. J’ai donc contacté le concessionnaire White shark/ Suzuki (Canet boat plaisance) qui entretient mon bateau, pour lui demander s’il avait entendu parler du Parafouling, voire utilisé. Étant donné qu’il ne connaissait pas le produit, j’ai souhaité qu’il se renseigne et référence le Parafouling pour l’appliquer sur mon bateau. De mon côté, j’ai aussi contacté le société Prisme (responsable technique) afin de m’assurer de la bonne application et de l’efficacité de ce produit. J’ai donc fait faire l’aérogommage, la pose de 2 couches d’un primaire époxy bi composants haute performance Interprotect de la marque International (4 et 5 juin) et la pose du Parafouling le 10 juin avec remise en eau le 12 juin. Résultats, 15 jours après, j’avais déjà la coque sale avec de nombreuses algues et coquillages fixés sur toute la coque. Le 17 juillet, j’ai été obligé de ressortir le bateau, tellement la coque était envahie par des algues de 20 cm de longs (on dirait un Yéti) et autres coquillages. Les seuls endroits qui ne présentaient pas d’algues, étaient ceux où l’ancien antifouling n’avait pas été retiré par l’aérogommage, à savoir les pieds du ber. J’ai bien évidemment recontacté la société Prisme (le responsable technique) pour partager ma mauvaise expérience. Après, plusieurs discussions, la seule explication qu’il m’a donnée sur cet échec, résulterait sur le fait que le temps de séchage entre le primaire et la pose du Parafouling était trop long. Comme, je lui ai dit, je n’y crois pas du tout car le Parafouling a aussi été posé sur l’embase du moteur et les ZIPWAKE qui ne présentaient pas de primaire et les algues et coquillages étaient fixés de la même manière. Je pense tout simplement que ce produit n’est pas efficace, dans tous les cas pas comme les antifoulings classiques. Expérience décevante, d’autant que le produit est cher, 365 € les 750 ml….et que le SAV de la société Prisme inéxistant…..
Arnaud Coquidé
Arnaud Coquidé
Voici mon avis sur ce produit. Tout d'abord le processus d'application: Étape 1: décapage complet des 2 coques jusqu'au gelcoat. Étape 2: application d'un primaire epoxy VCTar 2 de chez International Étape 3: application du Parafouling à l'aide d'un rouleau mousse 5 jours avant la mise à l'eau. 24h après l'application, la coque est parfaitement lisse. Pluie la veille de la mise à l'eau, effet perlant constaté sur les coques. Mise à l'eau le 24 juillet à Paimboeuf, Loire-Atlantique. Bon résultat sur la vitesse du bateau. Nous sommes arrivés le 11 août en Espagne à La Corogne. 600 miles Nautiques depuis la mise à l'eau. Je constate sur les dernières jours de navigation une légère perte de vitesse. Je décide de plonger pour nettoyer la coque. Surprise, le bateau ressemble à celui de Cetelem. Des herbes de plus de 10 cm. 2h de grattage sous l'eau à la spatule pour tout faire partir. Constatation de début de coquillages. Nous avons pourtant beaucoup navigué depuis la mise à l'eau, je m'attendais à avoir une coque plus propre... L'effet "auto nettoyant" avec la vitesse du bateau n'est clairement pas là. Nous sommes maintenant à Lisbonne où nous avons choisi de sortir le bateau et de repasser à la méthode traditionnelle. Les coques sont dans le même état qu’à la Corogne malgré 2 plongées intermédiaires… Je ne me voit pas passer 2h toutes les semaines à gratter sous l’eau. On est loin du simple coup d’éponge annoncé par le commercial. Résultat, grosse perte de temps et grosse perte d’argent… Et bien sûr, silence radio du commercial qui nous a vanté les «bienfaits» du produit.
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 Laurent helou
Laurent helou
il existe également une solution mécanique opréationnelle éprouvée, rapide, face et économique sans sortie du bateau de l'eau : www.bio-ocean.fr
 Stéphane maroy
Stéphane maroy
Enfin une solution innovante quoique que pour l'instant trop chere pour le plaisancier: le cuivre est connu depuis longtemps ( plaque clouée sur la coque des bateaux de guerre en bois) l'intérêt serait de tester sur un bateau continuellement à l'eau et rapide pour voir si la colle résiste bien dans le temps aux contraintes mécaniques d'un départ au planning. En outre il serait intéressant de comparer le frein généré comparé à des antifooling traditionnels en régime laminaire et turbulent.
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Stéphan Vallet
Stéphan Vallet
Il serait honnête et logique de mettre à jour ces articles... Le finsulate a été démonté après un an si j'ai bien compris ?
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Application du MacGlide sur un Bénéteau

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Le pare fouling

 Edouard huttel
Edouard huttel
Dans le cas des plaques immergées, il serait nécesaire de faire régulièrement des analyses physico-chimiques de l'eau (T°, Ph,...) Peut-être qu'un prodit serait plus pertinent qu'un autre, car l'eau de mer ne peut être de la même qualité à Dunkerque, Arcachon, Cadix, Port Vendre, Ajaccio ou Solenzara...à voir...
Benoît Darrigrand
Benoît Darrigrand
Bonjour, avez vous les résultats ?
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 L'air du large
L'air du large
Ce principe avait déja été expérimenté dans les années 90 dans le port Camille Rayon à Golfe-Juan. Quand le bateau (10 metres) sortait, la bache reposait au fond du bassin car on ne peut pas la mettre sur l'appontement ni pour l'encombrement ni pour l'odeur ! Quand un bateau manoeuvrait près du poste libre la bache se déplaçait du fond et remontait dans l'hélice...et le mécontentement des voisins était unanime...Bon courage au responsable de marina qui autorisera ça .
 Courcier pauline
Courcier pauline
Le parefouling est amovible et ne reste jamais au fond, il est pliable aisément sur le pont en prenant soin de le nettoyer au fur et à mesure. C'est "un tour de main" à prendre, simple et rapide. Le système des années 90 doit avoir bien évolué. www.parefouling.com
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Régis Bidart
Régis Bidart
Le problème avec les résines chargées cuivre, c'est qu'elles ne sont pas enregistrées en France, donc hors-la-loi. Aucune trace dans la base nationale des produits biocides : https://simmbad.fr/public/servlet/produitList.html?
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simmbad.fr
Marion Padioleau
Marion Padioleau
Il manque Finsulate Antifouling ! 100% respectueux de l'environnement. Adhésif composé de fibres de nylon qui empêchent les coques, moules de venir coloniser la coque. Le nettoyage propre et facile se fait par brossage en plongée, au jet haute pression à la sortie d'eau ou avec une éponge abrasive si la coque est sèche. Seul le film organique naturel peut venir se déposer. Selon les habitudes de navigation, la localisation du bateau, l'entretien sera plus ou moins régulier. Le recul est d'au moins 5 ans et s'adapte à tout type de coque La pose se fait par l'équipe finsulate mais aussi par des chantiers qui souhaitent être formés, avec le propriétaire. Plus d'infos sur www.finsulate.com/FB/youtube...
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Marc Weyland
Marc Weyland
M300 efficace sur les algues mais catastrophique pour les coquillages... Prolifération de petits filaments blancs beaucoup plus rapide avec le M300 qu'avec un antifouling traditionnel; j'ai essayé les 2 procédés.
Michel Desbois
Michel Desbois
Monsieur, un revêtement polyester à base de peut de particules de cuivre, ne peut pas fonctionner, idem, pour ceux qui ont essayé de copier l'un de mes brevets, c'est difficile de faire tenir en suspension plus de 90% de particules de cuivre dans une résine à base d'eau ou autres. ça m'a demandé 20 années-pour arriver à la solution.
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