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Gros temps
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Dominique Montesinos
Un excellent bateau de croisière hauturière, rapide à toutes les allures et solidement construit. Un grande réussite du chantier Jeanneau.
Jean-pierre Guelain
Kakawi 1984
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Yves Girard
Svp Comment appelle t-on le conducteur d 'un voilier qui n'assume pas des responsabilités dans la tempête?
A combien se monte la facture de cette intervention. peut-etre est-il membre de la SNSM
Félcitationss aux membres de la SNSM qui sont intervenus
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Rod et Olin Stephens
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Ranieri Fornari
Eric n'a jamais voulu utiliser un harnais de sécurité.
Gérard Menvuça
Je pensais à lui Lorsque, à bout de souffle, et en fin d'affalage de spi, il fallait envoyer le génois, avant de rentrer plier la toile...complétement asphyxié avec ce harnais sur ciré qui m'empêchait de respirer. Mais bon...securité avant tout.
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Jean-françois Mury
La photo est celle de mon ancien bateau "Golo-Robine" !!!
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Patrick Leblanc
Enfin, enfin une jonque dans ce magazine !
Oh, que nous aimerions en voir plus souvent, nous les "rebelles" qui sommes tombés amoureux de ce gréement, et ne pouvons plus concevoir une autre façon de naviguer ! Pour sa facilité (je barre ma goélette comme un Optimist), sa sécurité (chaque panneau de voile est un ris - 5 à 7 par voile -, que l'on prend ou qu'on largue en quelques secondes depuis le cockpit, sans changer de cap), son aspect économique (pas de haubans ni de coûteux accastillage inox ou carbone), et aussi pour le plaisir de barrer un gréement original qui ne laisse personne indifférent.
Allez, quelques recherches sur le web, du côté du site de la JRA ( https://www.junkrigassociation.org/ ) par exemple.
Et aucun d'entre nous n'est avare d'explications !
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Karine le helloco
Pas mal : être malade devant le Raz de Sein avec un aussi beau soleil
Wear is my boat
Vêtements techniques pour le bien-être en mer
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Stephane meteo-formation
merci pour cet article; actuellement il me semble difficile de passer à travers un épisode venteux avec des rafales à 60kt
Halo autour du soleil, bon ou mauvais présage ?
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Stephane meteo-formation
je dirai plutôt qu'il s'agit d'un halo solaire caractéristique du cirrostratus, nuages élevés mais qui n'est pas forcément synonyme de mauvais temps dans les prochaines heures; surtout en méditerranée
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Jean-bertrand Mothes-massé
Je ne peux que conseiller à tous les plaisanciers qui font de la haute mer de suivre un stage d'entrainement à la survie, pendant lesquels on traite de tous les éléments de sécurité à prendre en compte, et surtout se familiariser avec ces éléments. Anticiper, comme il est très bien dit dans cet article. Et un coup de vent deviendra un plaisir.
Ces stages sont organisés sous l'égide de la Fédération Française de Voile auprès de Centres Spécialisés Habilités. A noter que le niveau de ces stages est celui qui est obligatoire pour les coureurs au large.
Stage dits "World Sailing", renseignements jb.mothesmasse@ffvoile.fr
Erica Humbert-droz
Un souvenir!
Vous avez dit « tempête » ?
Au large de Bastia
Je n'oublierai jamais
ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer.
Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours.
Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres
très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur!
L'anémomètre en bout de course!
A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large? Ou, "tirer des
bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ?
Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussée à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec
une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment.
Des bottes plus qu'utiles! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente: "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?"
Je parle au bateau: "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service…
Aller au WC ? Exclu! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes!
Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à
l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face
au vent…!
Merci, la Capitainerie!
Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise: pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre! C'est la capitainerie qui
(me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide.
Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns!!
2010, soit 10 ans après.
J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée! Aujourd’hui, lorsqu’un
candidat au permis mer me dit : « J’ai fait une croisière en
Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens pour faire des Milles dans une mer calme, « pour touristes !
Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je,? Ceux m’annonçant avec un visage vert : Ah non, j'abandonne ! Je veux débarquer. Ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! »
Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu !
Erica Humbert-Droz
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Christian Dalgas
Bonjour Delphine, votre voilier est un Coronado Club 760 du chantier Plaivisa à Barcelone et largement diffusé en France , très marin et é quilibré sur lequel j ai navigué de1970 à 1985 !
Julie Leveugle
Merci Christian pour cet éclairage, c'est bien un Playvisa Coronado Club 760 ! Je passe le message à Delphine.
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Quentin Vlamynck sur son Ocean Fifty Arkema
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