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Parfois comme ici au Moulin des Malades, canal et rivière voisinent étroitement
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Emmanuel Clochet
Bonjour
Cette pile à combustible remplace-t-elle un groupe électrogène ? Quelle en serait les avantages et/ou inconvénients ?
Merci
François-xavier Ricardou
Bonjour Emmanuel,
Je vous conseille la lecture entière du sujet et notamment le chapo : "La pile à combustible EFOY est un producteur d'électricité silencieux pour des voiliers de 6 à 15 mètres. Elle va recharger le parc de batteries de servitude comme un mini groupe électrogène, mais sans aucun bruit ni pollution."
Vous retrouverez tous les avantages/iconvénients dans le texte.
Bonne lecture
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Dominique Charnier
ne dit on pas que relier le mat à la mer en guise de paratonnerre attire bien plus la foudre ? Dominique
Aurélien Loste
Pas forcément, car c'est un contact indirect avec l'eau salée.
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Martin Lenain
"Ces radars offrent une portée de détection comprise entre 20 mètres et 72 milles nautiques (modèles 4 kW) ou 96 milles nautiques (modèles 12 et 25 kW).
Ces chiffres représentent les différentes échelles du radar, pas la portée réelle en pratique. Par exemple, si la poutrelle est installée à 3 mètres de hauteur sur le bateau, le radar détectera un obstacle à 96 milles si le dit obstacle est à ... 1800 mètre de hauteur. Les constructeurs donnent des "portées" qui correspondent en fait à l'échelle maxi de l'afficheur. En pratique, si la poutrelle est installée à 3 mètres au dessus de l'eau (par exemple), un obstacle de 3 mètres de haut sera détecté au maximum à 8 milles, quelle que soit la puissance du radar.
Christophe Michel
Merci pour cette précision.
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Claude lotz
faux pour l'automie... on peut utiliser des batteries externes qui assurent la recharge... et si on est sur le bateau... chargeur USB
Claude bourgeois
Fonction cartographie inopérante si on utilise le smartphone pour autre chose (téléphoner par exemple !) ... moi j'utilise simplement un vieux smatrphone sur lequel j'ai instalé seulement mes aplications de voile .
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Les skippers naviguent à l'ancienne
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Patrice Flottes
C'est très loin n'est-ce pas 1968 ... De là à dire que l'on employait le loch à bateau (cordage à nœuds et planchette) en vigueur au 19eme siècle, c'est inexact.
Quand on utilise un sextant, en se servant des astres visibles, on fait le point. Quand on navigue à l'estime, on pifomètre le cap moyen suivi ainsi que la distance parcourue.
Pour faire le point au sextant, Les calculs manuels sont assez limités, il y a (et avait) des tables de calculs ou les valeurs sont pré-mâchées.
Le cours de navigation des Glénan existe toujours, saine lecture !