Sun Odyssey
L'équipage de Sail For Tomorow qui gagne un Sun Odyssey 410....
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Erick Coll
Jeanneau ferait mieux de s'occuper de ramasser leurs poubelles en plastique qui s'amassent et polluent dans tous les ports du monde.
On devrait obliger cette société à devoir contribué au recyclage de leurs bateaux.
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Préparation d'un Jeanneau Sun Odyssey 479 pour la course
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Lbo Bo
Bonjour comment peut on contacter Yves ?
Olivier Courgeon
j'ai rénové une vedette fluviale hollandaise de 13 m, effet garantie avec sa double coque rivetée et sa vergue latine.
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Philippe Gaches
vous pouvez visiter le site consacré à ce bateau :
Bienvenue sur le site de Force Pas 3
Le site de force pas et des sun odyssey 33i
forcepas3.free.fr
Le Sun Odyssey 40
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Jean-bertrand Mothes-massé
Il serait utile de préciser que le VPP a été développé par l'ORC, dans le cadre du déploiement de l'IMS. OSIRIS n'est qu'un système qui est venu utiliser le VPP, tout comme l'IRC. Un bon article sur l'IMS serait le bienvenu, afin de remettre les idées dans le bon ordre, et rendre à César que qui appartient à César.
Charly Fernbach
Merci de votre commentaire et de votre proposition d'article. Le premier VPP (Velocity prediction program) est largement antérieure à la jauge IMS. Le premier VPP a été développé au Massachusetts Institute of Technology au début des années 1970. Alors que l'IMS (International Measurement System) date de 1983. Proposée par l'ORC (Offshore Racing Council), elle avait pour objectif de corriger les imperfections de la jauge IOR en se basant sur des prédictions de vitesse, les fameux VPP. Enfin, la jauge IRC ne fait pas appel aux VPP.
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Eric Citrey
Le Jeanneau Yachts 55 correspond à ce que je recherche pour vivre ma retraite
Le Sun Odyssey 380
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Calage d'un Merry Fisher Marlin 855 à l'aide de Parkup Evo de chez Nautipark
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La version à lest long est logiquement plus à l’aise au louvoyage que le modèle équipé d’une quille à ailettes.
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Francis jacquinot
Encore heureux ! ... Cà viendra peut-etre restons vigilants
Bateau école du légué
Cela nous explique, qu'administrativement les 9/10 (pour ne pas dire plus) de la production des voiliers ne sont soumis à l'obligation ni d'un permis ni d'une quelquonque obligation d'un minimum de compétences validées concernant le chef de bord pour naviguer en mer ou au port dans lequel l'usage du moteur est une nécessité, voir une obligation.( manoeuvres au port redoutées par bon nombre de chefs de bord peu expérimentés) A contrario le pilote d'une petite embarcation de 5m, 300kg, avec un moteur de + de 6ch, doit passer un examen du code maritime (RIPAM, feux de nuit, balisage, VHF,etc.) et une validation à minima d'une pratique effective de 2h de pilotage...
Les cailloux, le balisage, les courants, les marées et ses variations de hauteur d'eau, les entrée de catway,les demis tour dans les pannes étroites, etc.,etc. concerneront bien les uns et les autres qu'ils soient voiliers ou bateaux à moteur !
Alors 2 poids, 2 mesures ?
L'argument de la mer comme dernier espace de liberté ne me semble être une réponse suffisante, pas plus que le sens marin qui serait l'appanage des "voileux" ou les stats des interventions de secours en mer qui pencheraient fortement du côté des bateaux à moteur.