Monocoque : quillard ou dériveur ? Quel choix pour sa grande croisière ?

Quillard ou dériveur, le choix du monocoque idéal pour une grande croisière est une question stratégique qui influence non seulement les performances en mer, mais aussi la liberté d'exploration. Entre la stabilité d'un quillard conçu pour affronter l'océan et la polyvalence d'un dériveur capable d'accéder aux mouillages les plus reculés, quelle option correspond le mieux à votre projet ? Une décision clé, qui mérite d'être examinée sous tous les angles.

Choisir son bateau pour une grande croisière est une décision cruciale. Ce choix ne détermine pas seulement le confort à bord, mais aussi la liberté d'exploration et la sécurité en mer. Faut-il préférer la stabilité et les performances d'un quillard ou la polyvalence et l'accès aux mouillages d'un dériveur ? C'est un dilemme récurrent parmi les marins préparant une grande navigation.

Au fil des années, les voyageurs au long cours se divisent en deux clans : ceux qui ne jurent que par le quillard, taillé pour la haute mer, et ceux qui misent sur un dériveur pour accéder aux mouillages cachés et aux eaux peu profondes. Pour trancher, il faut se poser la bonne question : quel type de voyageur êtes-vous ?

Le quillard : performance et stabilité

Plus d'articles sur le thème
Pour aller plus loin
Réagir à cet article
Lionel Mondon
Lionel Mondon
Il y a aussi les quilles relevables. L'échouage est un peu plus compliqué. En revanche, on peut avoir un tirant d'eau très important pour une bonne stabilité (2.93m pour un Pogo 36) et un tirant d'eau modéré pour s'approcher de la plage (1.09m pour le même Pogo 36). Impossible cependant de naviguer quille relevée. Et c'est relativement onéreux... mais très agréable !
Ajouter un commentaire...