J'irai jusqu'à imbiber de résine polyester l'épaisseur de la coque, surtout s'il s'agit d'une double peau (feutre, balsa, etc.). Attention également au choix du mastic, il doit supporter l’immersion permanente. Je préfère également les sondes amovibles et donc les passe-coques munis d'un bouchon, ce qui permet de faire l'entretien à flot.
Pour moi, il s'agit d'un navire à propulsion mécanique de plus de 45,75 mètres de longueur. Etrant vu exactement de face, le feu le plus bas est devant le feu le plus haut.
Sur St Mary's, la plus grande des îles Scilly, près du slipway de la Royal National Lifeboat Institution, on peut découvrir un petit musée qui répertorie toutes les interventions des secours en mer réalisées depuis le 20e siècle.
En France, la construction de canots de sauvetage a commencé
sérieusement à partir de 1866, lorsqu'une commission instituée par le
ministre de la marine a choisi le canot Peake de 9,78m. du RNLI dont une
cinquantaine d'unités ont été fournis entre 1866 et 1897 par Forrest
and sons (Londre), les chantiers Augustin-Normand (le Havre) et les
Forges et Chantiers de la Méditerranée (la Ciotat). Les Chantiers
Augustin-Normand s'imposeront ensuite comme le principal constructeur
français de canot de sauvetage en fournissant, entre 1866 et 1962, 162
canots de 6,50m a 13,60m, pour la plupart, dérivés des canots Peake mais
plus grands et très améliorés.
cf. :
et : https://kbcpenmarch.franceserv.com/les-chantiers-navals-augustin-normand.html