Depuis le 1 mai 2015, un dispositif lumineux d'une autonomie minimale de 6 heure et assujetti à chaque équipement individuel de flottabilité est obligatoire pour toutes les catégories de navigation. Cette législation s'applique en mer pour toutes les embarcations de moins de 24 m. Avec un nouvel arrêté du 10 février 2016 (mis en application le 1er avril 2016) cette disposition s'applique aussi pour les bateaux de plaisance naviguant dans les plans d'eau intérieurs exposés.
Il faut ajouter un éclairage à son gilet de sauvetage ! On pense rapidement à la flash light pour remplir ce rôle amis avez-vous pensé aussi au Cyalume ?
Ces bâtons lumineux sont acceptés par la réglementation. Ce tube de plastique de 15 cm émet une lumière dès que l'on casse une gélule en verre qui se trouve à l'intérieur. Leur autonomie est donnée pour 12 heures, soit le double de ce qui est demandé par la réglementation.
Le Cyalume existe en plusiseurs couleurs mais c'est le vert qui est la plus visible en mer.
S'ils éclairent moins fort qu'une flash light, en revanche, ils sont toujours opérationnels (pas de souci technique, ni de problème de piles défectueuses), ne pèsent pas lourd, sont étanches et surtout ne coute rien (ou presque). Des tests ont montré que le Cyalume est visible à au moins 1 mille nautique. Certes il ne fonctionne qu'une fois, mais de la même manière qu'il faudra changer la cartouche de votre gilet autogonflant quand il sera percuté.
Dans cette vidéo, nous vous présentons aussi le modèle S.O.S. Light qui est un Cyalume conditionné dans un tube et accroché avec une cordelette. Ainsi équipé, il laisse la possibilité de faire tourner la lumière au-dessus de sa tête pour augmenter la capacité de repérage.
