Faire un Mini 6.50 responsable
Originaire du Nord, entre Boulogne et Dunkerque, Thomas Cichostepski s'est mis à la voile en solitaire en autodidacte. Il débute en Manche sur un Sangria et attrape le virus. Le jeune homme, charpentier de formation, ayant travaillé sur des monuments historiques, découvre avec plaisir le bricolage maritime lors de ses premiers vrais travaux sur son Sangria. Avec un voisin de chantier, l'imagination s'échauffe et l'idée naît de se lancer en Mini 6.50, avec un projet responsable, mais aussi abordable financièrement pour le jeune homme.

La quête du bateau
Après avoir un temps envisagé de construire lui-même un proto en contreplaqué, le charpentier, conseillé par des amis se rabat sur l'achat d'un bateau d'occasion : "Comme me l'a fait remarquer un ami, la coque coûterait nécessairement et il ne resterait rien pour l'équiper. J'avais alors 2 options, un vieux bateau de série, ce qui est aujourd'hui très compliqué avec le succès de la classe ou un vieux proto. C'est donc ce que j'ai choisi. Cela correspond aussi plus à l'idée de faire son projet avec ses mains qui est le mien."

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