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Patrice Flottes
Un peu plus grand que le LUGGER, qui n'a pas de cabine et avec lequel Webb Chiles a "presque" fait le tour du monde dans des conditions que l'on peut imaginer difficiles. Le fait qu'il ne soit pas auto-videur est gênant, même au port ou la seule pluie peut le remplir. Quand il est plein d'eau, il est difficile à vider, l'eau entre par le puits de dérive.
Je pense qu'il ne serait pas bien difficile de régler le problème en rehaussant les assises et le fond du cockpit d'autant que le franc-bord manque un peu de hauteur. Pour le prix neuf, effectivement très élevé, cette évolution pourrait être prévue par le chantier. Si vous vous faites livrer depuis l'Angleterre où il est plus facile à trouver, attention aux remorques qui ne correspondent pas au code européen.
Les Plages de Salvador de Bahia
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Emmanuel Clochet
Bonjour
Cette pile à combustible remplace-t-elle un groupe électrogène ? Quelle en serait les avantages et/ou inconvénients ?
Merci
François-xavier Ricardou
Bonjour Emmanuel,
Je vous conseille la lecture entière du sujet et notamment le chapo : "La pile à combustible EFOY est un producteur d'électricité silencieux pour des voiliers de 6 à 15 mètres. Elle va recharger le parc de batteries de servitude comme un mini groupe électrogène, mais sans aucun bruit ni pollution."
Vous retrouverez tous les avantages/iconvénients dans le texte.
Bonne lecture
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Pierre Cizeau
Yan Riou a aussi été dépêché par Gitana en accord avec la direction de course pour observer l'évolution de la zone des glaces. Il y avait donc aussi un aspect sécuritaire à son déplacement :
Après on en pense ce qu'on veut !
Icebergs : vigilance accrue pour les prochains passages du cap Horn
TRENTE-ET-UNIÈME NUIT. Avant le passage de Charles Caudrelier au cap Horn mardi dernier, une présence d'icebergs a été constatée au Nord de la ZEA (zone d'exclusion Antarctique). Avant le franchissement du 3e cap par Armel Le Cléac'h (2e) et Thomas Coville (3e) ce weekend, la direction de course s'est mobilisée afin de garantir la sécurité de tous les marins dans cette zone. Explications.
arkeaultimchallengebrest.com
Dominique Montesinos
Alors là Briag, je dis "chapeau". Je trouve ton intervention très courageuse (et probablement aussi très risquée). Mettre, comme ça, le doigt là où ça fait mal, on ne voit pas ça très souvent dans notre monde d'hypocrites où seul le pognon compte.
La voile de compétition est bien obligée d'afficher un désir de réduction d'impact sur l'environnement. C'est même le moins qu'elle puisse faire. Par contre, elle a bien envie de se contenter de ce "moins" et qu'on essaie surtout pas de lui en imposer plus.
J'aurais bien vu un minimum avec zéro énergie fossile à bord d'un bateau de course... Oui, je sais, c'est très "retro" comme concept. Les plus jeunes seraient même tentés de dire: "c'est impossible". Désolé, mais, j'appartiens à cette poignée de "vieux cons" qui a réalisé cinq transats en course sans électricité et sans moteur. Bon, c'était dans les années 80, mais tout de même, avec tout ce qu'il existe sur le marché aujourd'hui, c'est devenu, au contraire, extrêmement possible, en plus d' être souhaitable.
Bref, merci pour ce texte.
Je te souhaite le bonjour
domimontesinos
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