Michel a acheté un voilier de 14 m en acier l'année dernière. Il s'agit d'un plan de Jean-François André construit par un amateur. Ce dériveur avec un embryon de quille (1,35 m de tirant d'eau dérive haute) pèse 15 tonnes. Avec son moteur en ligne d'arbre et ses 2 safrans, la manœuvre au moteur, surtout en marche arrière n'est pas évidente. Le flux de l'hélice, une quadripale, passe entre les 2 safrans.
Navigant en couple sa femme, Michel a imaginé équiper son voilier d'un propulseur d'étrave. Il envisage de faire souder un tunnel à l'étrave. Mais le coût prohibitif de l'installation et la complexité de l'ensemble freinent rapidement ses ardeurs.

Un palliatif au propulseur d'étrave
A la recherche d'une solution, il a l'idée de s'aider avec le moteur hors-bord de son annexe. Il fait un premier montage provisoire en le fixant sur sa jupe arrière. Il se rend compte que dérive basse, le ...

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