Location, propriété entière, boat-club, prêt… Les solutions qui permettent de disposer d'un bateau sont nombreuses. Chacune présente ses avantages et ses inconvénients et, d'évidence, aucune n'est meilleure que l'autre. Sauf celle qui convient à un plaisancier en particulier...
François Berthe est architecte à Concarneau (Finistère). Il est devenu avec trois autres de ses amis co-propriétaire d'un bateau. Il s'agit d'un First 211, baptisé Gwennel Mor (Hirondelle de mer en breton) qui a failli perdre son anneau au port de Concarneau.

Un événement de la vie oblige à se séparer du bateau
La genèse de cette "copro", François la raconte : "Le bateau appartenait à un ami. Il était amené à déménager loin du littoral et se demandait que faire de son bateau. Le vendre, continuer de payer la place au port ou localiser un endroit à terre. Aucune option ne lui convenait, il voulait voir le voilier rester vivant, dans tous les sens du terme. C'est au cours d'une soirée entre amis que l'idée de devenir propriétaire de son bateau a germé" commence l'architecte.
Il fallait alors trouver d'autres parties prenantes, pour les finances d'une part, pour l'usage d'autre part. Il était, en effet, inconcevable que le bateau devenu "partagé" reste inactif dans le port de la ville close. L'idée était de mutualiser les usages et les soins qui seraient apportés au First pour rentabiliser l'objet bateau en lui-même. Ce sont les deux motivations essentielles à la copropriété, utiliser plus souvent le bateau et mieux l'entretenir.
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