La mise à terre d'un bateau fluvial n'est pas aussi fréquente qu'en mer, surtout parce que les salissures de la carène ne sont pas aussi gênantes en eau douce. On n'y trouve pas ou peu de coquillages pour la coloniser. Pourtant, les hélices et les safrans sont exposés aux mauvaises rencontres et leur contrôle est souvent une motivation pour une sortie de l'eau.
Un essai en navigation
Avant la mise à terre, il est important de faire un essai en navigation. C'est l'occasion de discerner les éventuelles faiblesses de propulsion, les vibrations d'un arbre d'hélice, le manque d'efficacité d'un propulseur d'étrave ou encore le centrage imparfait d'un safran de gouvernail. Autant de symptômes qui ne seront pas ou difficilement perceptibles au sec. ...
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