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Des courses professionnelles et amateurs
Il existe de nombreuses manières de naviguer et de s'adonner à sa passion. Si certains rachètent d'anciens trimarans de course laissés à l'abandon pour tenter de prendre le départ de la Route du Rhum 2026, d'autres expérimentent la régate plus "détendue" dans les eaux chaudes des Caraïbes. Comme quoi, il n'y pas a forcément besoin d'être un navigateur confirmé pour participer à de grandes courses.
Des spécificités géographiques
Dans des contrées plus nordiques, on découvre également d'autres manières de pratiquer la plaisance. En Finlande, par exemple, la topographie du pays et sa situation géographique, incitent les Finlandais à principalement naviguer au moteur, sur de petites unités robustes en aluminium.
Découvrir de nouvelles aventures ou vivre l'aventure
Pour les amoureux de la voile et des vieux gréements, Fleur de Lampaul, une gabare bretonne de 1948 qui a connu de nombreuses vies, offre des embarquements pour vivre des aventures plus durables.
Enfin, il y a ceux qui ont fait de leur bateau leur résidence et qui doivent adapter leur mode de vie nomade en fonction de la composition familiale. Vivre avec un bébé à bord suscite des interrogations, notamment sur le choix des couches.
Faciliter l'accès à la plaisance
Pour faciliter l'accès à la mer et à la plaisance, la réforme du permis bateau survenue il y a neuf mois s'avère satisfaisante. Ainsi, chaque jour, de nouveaux plaisanciers obtiennent leur fameux sésame. À leur tour, ils feront le choix de la manière dont ils pratiqueront la navigation, à voile ou à moteur, en course ou en croisière…