RIPAM

Suite de l'actualité avec Bateaux.com - page 2

Le fait d'être privilégié vous oblige à conserver votre cap et votre vitesse.

voir les règles du RIPAM

memo assez fidele bien resumé

simple, clair et complet

Le comportement n’a rien à voir avec le fait d’être plaisancier ou professionnel, il y’a des plaisanciers qui respectent les règles, l’environnement et les autres usagers, j’ai la faiblesse de croire qu’e ceux-ci sont très largement majoritaires et d’autres qui se comportent comme des abrutis y compris même envers d’autres plaisanciers. Il en est de même des professionnels, la très très grande majorité des professionnels de la mer sont des gens respectueux et solidaires de tous marins. Évidemment nous rencontrons parfois des exceptions comme dans toutes sociétés, il ne faudrait pas en arriver à généraliser et stigmatiser une profession. Le minimum à respecter pour un plaisancier est de se comporter de manière à ne pas gêner ceux qui travaillent, quitte à renoncer à sa prétendue priorité. Les bateaux de pêches en action ou les bateaux de commerce sont dans certaines conditions peu manœuvrant, un peu de bon sens permet d’éviter des conflits qui n’ont pas lieu d’être. Dans le doute sur la manœuvre ou la direction d’un autre bateau, il m’arrive très souvent d’appeler le bateau par VHF pour m’assurer de ses intentions, je ne me suis encore jamais fait envoyer promener pour l’avoir fait. Il en est de même pour traverser les rails d’Ouessant, le mieux avant de s’engager est d’appeler Ouessant trafic, pour d’une part signaler notre présence, partager nos intentions, vérifier ce que nous allons croiser et la faisabilité de ce que nous projetons, nous y sommes toujours bien reçu et conseillé par des professionnels ayant une vue d’ensemble sur le trafic ce qu’à bord nous n’avons pas.

Très judicieux ! Merci de rappeler qu'il est très utile de prendre contact avec les voisins pour connaître leurs intentions . On est toujours bien reçu !! Et ça les rassure aussi !! Et nous , on révise notre anglais !! My course , my speed , . . .

Bonjour, Je me permet de vous signaler que dans votre article vous mélanger la règle 35. signaux sonores par visibilité réduite et la règle 34. signaux de manœuvre et d'avertissement qui ne peuvent émis que lorsque des navires sont en vue les uns des autres. Erreur importante, c'est dommage car sinon l'article était judicieux. Cordialement A.Courjal

A mon avis, le RIPAM qui fixe des obligations pour les bateaux non privilégiés ET privilégiés, m'impose surtout dans ce cas de ne pas modifier ma route et donc de conserver mon cap et ma vitesse jusqu'à ce que le rattrapant m'ai dépassé.

Il convient ici de replacer les éléments dans un contexte de navigation de PLAISANCE au niveau du permis côtier qui font suite à de nombreuses expériences vécues et de cas concrets de non respect de cette règle du rattrapant par des plaisanciers qui peuvent soit ne pas la connaître ou soit l'avoir oubliée. L'objectif "pédagogique" est principalement de rappeler qui est privilégié et qui ne l'est pas dans cette situation afin que chaque plaisancier chef de bord, rattrapant ou rattrapé, se rappelle de maintenir une veille attentive et anticiper sur les manœuvres de l'autre tout en étant conscient de cette notion de privilège respectif.

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Merci pour ce point de vue qui est une belle mise au point : que les haineux restent à terre.