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Yoann Richomme
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Le Nautic 2022 faisait grise mine, un peu à l'image de la météo du moment.
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Hugues Bové
Le Nautic : de pire en pire...
Pas viable, tu m'etonnes. Est ce la premiere fois que nous lisons cela ? Decrivons la pauvreté du salon ?
Liard Joel
Quand j'ai connu le salon nautique a La Défense, je le trouvais superbe. Aujourd'hui je vais plus au Grand Pavois, c'est superbe. Par contre ce qu'il faut noter c'est que certaines voitures pour plus venir à Paris.
La causse : la maire de Paris
Donc ça gâche tout. Surtout pour voir quoi ? Rien donc la meilleure solution c'est d'aller aller au salon des expositions.
Le Class40 Paprec Arkea en mode fusée près de la ligne d'arrivée
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Brigitte Ferrand
Je suis solidaire de cette analyse et des questions qu'elle soulève.
Christian Fardel
M Cet article fort bien documenté me détrange car il oublie une chose, peut-etre la plus importante.
Cet argent dépensé n'a pas été jeté à la poubelle. Sur cette somme ,
combien de taxes sont reversées à l'Etat, aux collectivités locales
pourvoyeurs d'emplois pérennes ? Combien d'emplois directs ou indirects, meme saisonniers, ont-t-ils été créés .Quel est impact positif industriel et environnemental de la construction de ces machines extraordinaires? Combien d'innovations et d'améliorations ont été produites ? En cette saison économiquement creuse,alors que la déprime touche tout un chacun il serait bon de se demander aussi combien de revenus ont été générés pour des commerces qui font face à des difficultés imprévues et insupportables..
Devrions-nous économiser cet argent , et jeter tous ceux qui en ont bénéficié à la rue ...? Le nautisme en Bretagne, ce sont des millions d'Euros qui maintiennent une industrie formidable pour une région qui , défavorisée, par des facteurs géographiques et logistiques a su rebondir face à la crise pétrolière de 1973 et devenir le phare du nautisme au niveau mondial, grace au courage et à la volonté farouche de ses habitants. Nous redonnez un peu d'espoir avec une approche un peu plus positive., dans votre excellent mag
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Martin Le Roux / Polaryse / Paprec
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Les skippers de la Route du Rhum 2022
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Départ de la Route du Rhum 2018
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Alexandre Renard
Désolant...
Désolant de voir que cette course perd son âme. Les catégories Rhum sont réduites à peau de chagrin.
Les pros eux en revanche profitent de ces catégories normalement réservées aux amateurs.
Ces catégories prévues pour les bateaux ayant un historique important en course, mais bon on y voit des bateaux mis à l'eau il y a juste quelques semaines. Je ne vois pas où se trouve l'historique de course dans ce cas là.
C'est pourtant un petit tri jaune qui avait gagné la première route du rhum. Aujourd'hui il ne serait pas autorisé à participer selon les critères de cette édition. Deux Acapela sont autorisés a concourir car ils ont déjà plusieurs participations à leurs actifs. Ouf, l'honneur est sauf, ou pas...
Je ne suis pas un de ses marins inscrits qui n'a pas pu participer, je suis juste un passionné de bateaux, d'aventures qui ne reverra pas cette année devant cette course mythique.
Désolant...
Jean-gabriel Barrault
Il faudrait surtout faire un article sur Mike Birch, en racontant non pas seulement sa victoire 78, mais l'incroyable exploit qui l'annonçait. Arrivé 24 h après Tabarly dans la transat 76, avec un VAL31. Je vous invite à aller voir sur internet ce petit tri, presque un engin de plage...
Construction du nouvel IMOCA de Maxime Sorel
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Yoann Richomme
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