Sondeur

Suite de l'actualité avec Bateaux.com - page 2

Belle histoire et pourvu qu'elle dure longtemps ! Le récit ne dit cependant pas combien de temps ce muscadet a passé sur sa remorque et sous hangar. Attention aux embarcations en bois "moderne", contreplaqué ou bois moulé qui peuvent très mal évoluer s'ils ne sont pas stockés à l'abri (notamment de la pluie). L'état de Pen Duick II ou de Damien avant rénovation n'était pas très reluisant. Quand aux boulons de quille ou axe de dérive en bonne ferraille, galvanisée ou pas et parfaitement indémontables, je vous laisse juge.

Idem pour mon proto 6.5 en CP acquis en 1999 ; ce sont des bateaux facile a assumer , avec de belles capacité de navigation ; je rêve de retourner en Espagne avec le mien ; mais mon fils est déjà assez aguerri pour faire Fouras -l'Ile d'yeux d'une traite ; prochain défi : Fouras- Belle-Ile ...

Trés interessant

Je n'ai aucune confiance dans ces coupleurs. Si une des batteries est en court circuit, alors au moment du couplage elle va décharger immédiatement l'autre avec des risques de surchauffe. Je préfère mettre 3 clefs : une isolé la bat service, l'autre la bat moteur et la 3eme fait le couplage. En cas de panne de la 1ere, on commence par l'isoler, puis on couple. Bien sûr, on peut avec un coupleur, enlever les cosses de la bat en défaut. Encore faut-il y accéder et y penser.

À l'heure où les bateaux se font de plus en plus large, celui-ci est vraiment maigrichon !

Merci pour cette précision.

Nous avons subit une interaction sur notre catamaran en août 22 juste avant le cap Finistère le soir avant le crépuscule sous moteurs par 2 jeunes orques identifiés comme Gladys Estela et Gladis Olvera. Elles ont mordu directement nos saffrans quasi simultanément. Nous n'avons pas stopper les moteurs, mais mis plein gaz ( 12 nd). Elles nous ont suivi 1/4h nageant derrière nous sans nouveau contact acompagnéed de grands dauphins (ce qui confirme un comportement de jeu et non de chasse pour les scientifiques). Puis elles sont parties de conserve en direction d'un autre voilier chez qui elles ont détruit complètement le saffran. Il a du être pris en remorque. C'était leur 3 eme interaction de la journée d'après les scientifiques. Pour nous les dégâts ont été le bas du saffran cassé net à bâbord et cassé en bas et delaminé sur une face à tribord . Malgré cela nous étions maneuvrant et après contrôle à Porto nous avons pu poursuivre notre route jusqu'au Canaries. Les dégâts été fait dès le premier contact (on ne les a pas vu venir), mais nous pensons que si nous avions stopper elles auraient continuer à mordiller alors que là elles ont continué à jouer en "surfant " avec nous. B Féger

Il ne faut pas rêver. Les orques ne sont pas des gentils dauphins. Les parcs nautiques ont montré des orques très gentils obéissant à leur maître comme un gentil toutou. En fait, l’orque est un prédateur pour lequel on est une proie comme un phoque, juste un peu plus petite, un peu moins grasse. Ils sont en train d’essayer de trouver un moyen de récupérer ces proies qui se cachent dans des boites en plastique. Comme ils sont effectivement intelligents, il y a de fortes chances pour qu’ils y parviennent. Les scientifiques qui veulent nous faire croire que c’est juste un jeu sont des inconscients ou des criminels.En fait le protocole permet juste aux orques de continuer leurs recherches sur la façon de se nourrir de plaisanciers. Je me souviens que dans les années 60 il était conseillé aux navigateurs de se munir d’un fusil de grande chasse avec balles explosives. C’est,à mon avis la réponse la plus appropriée à ce nouveau comportement.

tres belle restauration :)