Pétole et planning sont incompatibles
Officiellement, Amedeo invoque une météo peu favorable – vent faible, vitesse réduite, échéance du 6 juillet intenable – et des impératifs de calendrier pour justifier son retrait. "Cette année est une année de transition. Je ne peux pas rester en mer aussi longtemps que la météo nous le demande", écrit-il dans son communiqué. Une phrase qui fait tiquer dans le milieu.

Car s'il est courant que la pétole vienne bouleverser les plans d'une course au large, nombreux sont ceux à rappeler qu'un skipper engagé, même en entraînement, se doit de composer avec les aléas de la mer. À l'heure où certains IMOCA se battent pour franchir le Fastnet dans des conditions légères, l'abandon de l'un inscrits crée un vide sur la ligne d'arrivée mais surtout une fracture dans l'image collective de la course.

/ 
















