accident

Michel Foubert
Michel Foubert
Le problème n’est il pas que la quille en fonte est fixée par des boulons inox? Relier la tresse à ces boulons est il efficace ?
François Le lay
François Le lay
Vous ne parlez pas du mat en alu posé sur une quille en plomb, éventuellement avec un intermédiaire en inox. Cette configuration nous met elle relativement à l'abri ?
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Jean-bertrand Mothes-massé
Jean-bertrand Mothes-massé
Je ne peux que conseiller à tous les plaisanciers qui font de la haute mer de suivre un stage d'entrainement à la survie, pendant lesquels on traite de tous les éléments de sécurité à prendre en compte, et surtout se familiariser avec ces éléments. Anticiper, comme il est très bien dit dans cet article. Et un coup de vent deviendra un plaisir. Ces stages sont organisés sous l'égide de la Fédération Française de Voile auprès de Centres Spécialisés Habilités. A noter que le niveau de ces stages est celui qui est obligatoire pour les coureurs au large. Stage dits "World Sailing", renseignements jb.mothesmasse@ffvoile.fr
Erica Humbert-droz
Erica Humbert-droz
Un souvenir! Vous avez dit « tempête » ? Au large de Bastia Je n'oublierai jamais ma première, j'espère la dernière tempête, vécue au large de Bastia. C'était il y a 10 ans, en septembre 2001, avec une équipe « d'avaleurs de Milles », candidats au permis mer. Partant du mouillage de Tamarone près du Cap Corse, nous faisons route au sud, par la côte Est. La météo annonce un vent d'Est dominant force 3, pas de BMS en cours. Tout à coup, à 2-3 milles devant nous, une barre blanche! Le vent d'Ouest - venant de la montagne - se lève. Nous prenons 3 ris, la voile d'artimon est affalée. L'anémomètre monte en quelques minutes de 10 à 30 nœuds. La barre blanche se rapproche avec un bruit de grondement infernal. La mer se creuse, des vagues de 2-3 mètres très courtes - nous sommes près de la côte, à environ 2 milles au large de Bastia. Le vent forcit encore. Le moteur mis, je demande à Bernard, le second, de mettre en place le tourmentin, ce qu'il fait en quelques minutes en excellent équipier et navigateur! L'anémomètre en bout de course! A présent, le vent est établi à 50, puis 65 nœuds. Sous les rafales, l'aiguille de l'anémomètre est bloquée tout en bas du cadran – elle ne peut aller plus loin, soit environ 80 nœuds ! Vent de travers, nous avons de la peine à tenir notre cap. Que faire? Il faut prendre une décision. Se mettre en fuite et arriver sur Elbe qui se trouve à 35 milles, de nuit, avec une mer forte au large? Ou, "tirer des bords" sur 2 milles pour se mettre à l'abri à Bastia ? Je décide de mettre le cap sur Bastia. Au tourmentin seul et, afin de pouvoir passer à travers les plus grosses rafales et vagues, le moteur est poussée à 3000 tours. Le bateau est stabilisé, nous arrivons à faire route en "tirant des bords". Je suis à la barre, Bernard aux écoutes du tourmentin. Devant nous, la mer est blanche. Nous surveillons les vagues et embruns qui nous arrivent dessus avec une force terrible. Les lames blanches déferlent et passent en nous fouettant méchamment. Des bottes plus qu'utiles! Le restant de l'équipage est enfermé dans le carré. De temps en temps, l'un d'eux ouvre le roof, panneau de la descente: "Vous devriez entendre les bruits, grincements et craquements, est-ce que… ça tiendra le coup?" Je parle au bateau: "Allez, tiens bon! " Je prie "LE Dieu » de service… Aller au WC ? Exclu! Il ne faut pas y penser. Donc, il y a les bottes! Chaque virement de bord est calculé et demande une grande concentration pour passer entre deux déferlantes, suivi d'un "ouf" de soulagement et satisfaction complice avec mon second. On avance lentement, mais on avance! Deux milles et deux heures plus tard… nous arrivons à l'entrée du port. Il s’agit maintenant d’effectuer des manœuvres d'amarrage avec plus de 40 nœuds de vent à l'intérieur du port, et - pourvu qu'il y ait une place, si possible face au vent…! Merci, la Capitainerie! Non pas sans peine, nous tournons en rond dans le petit avant-port et préparons amarres et pare battages. Puis, surprise: pas une, mais deux annexes viennent à notre rencontre! C'est la capitainerie qui (me dira-t-elle plus tard), nous a aperçus déjà lorsque nous étions au large et qui vient nous proposer leur aide. Plus tard, toute l'équipe est assise autour d'un "Casa" au bistrot du port. On raconte, les images défilent dans notre esprit… on exprime ce qu'on a ressenti. Des gens qui nous ont suivis depuis la jetée près du phare, posent des questions, nous dévisagent…Nous sourions – même moi, malgré mon visage écarlate et enflé par les embruns!! 2010, soit 10 ans après. J’ai parcouru des milliers de Milles entre l’Italie, la Turquie, la Tunisie, la Croatie, la Grèce, en Sardaigne - et en Corse. J’ai navigué en moyenne six mois par an, les hivers passés soit en Corse, soit en Turquie. Eh oui, la Méditerranée! Aujourd’hui, lorsqu’un candidat au permis mer me dit : « J’ai fait une croisière en Manche ; il y avait 50 nœuds de vent - et des creux de 10 m ! Je viens pour faire des Milles dans une mer calme, « pour touristes ! Le vent se lève, 20, 30 nœuds ; la mer se forme, 2-3 mètres de creux. Et, qui vois-je,? Ceux m’annonçant avec un visage vert : Ah non, j'abandonne ! Je veux débarquer. Ce n’est pas pour moi ! Ou d’autres encore : « Que j’aimerais donc avoir une tempête – juste pour voir ! » Je ne réponds plus. Car, il n’y a pas vraiment des mots pour décrire et transmettre ce qu’on a vécu ! Erica Humbert-Droz
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Que faire du matériel de bord lorsqu'on n'en n'a pas besoin à bord ?

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Colin Sinclair
Colin Sinclair
L'organisation fait tout pour empêcher les plaisanciers du coin, depuis longtemps impliqué dans l'ambiance de la course, de voir autre chose que des petits points sur l'horizon. Triste, mais c'est le fric qui compte ...
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Patrice Flottes
Patrice Flottes
Solution intéressante. Les "pingers" sont habituellement utilisés pour prévenir les cétacés de la présence d'un filet. On suppose qu'un apprentissage peut se faire et que ces intelligents mammifères associeront le pinger à un danger. Ceci dit, certains sondeurs électroniques ont une puissance similaire et s'ils gênent les cétacés, ils ne les font pas fuir. La solution du pétard de rappel pour plongeurs doit être efficace, reste à savoir si le résultat sera une fuite de l'agresseur ou une sur-excitation dangereuse. (puisqu'on nous dit que ce n'est qu'un jeu et non pas une véritable agression) En attendant, le processus d'attaque est le même que sur une baleine, morsure de la queue ou des nageoires pour tenter d'immobiliser la proie et/ou de s'enfuir avec une bouchée obtenue à peu de frais.
Bruno Belmont
Bruno Belmont
Les pingers sont interdits dans les eaux territoriales espagnoles et portugaises, mais utilisables 12 miles au large. Ils n'ont pas encore démontré qu'ils étaient toujours efficaces mais c'est peut-être la procédure d'utilisation qui reste à déterminer:
Comment protéger efficacement nos voiliers des orques? - Les tutos de la croisière

Comment protéger efficacement nos voiliers des orques? - Les tutos de la croisière

les-tutos-de-la-croisiere.com| par Katell
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Etienne Chambolle
Etienne Chambolle
Petite coquille : « Le phare est allumé pour la première fois le premier janvier 1954 ». Je suppose qu’il s’agit de l’année 1854 ?
Chloé Torterat
Chloé Torterat
Bonjour Etienne, merci pour la coquille... Effectivement il s'agit bien de 1854
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Michel Laboille-moresmau
Michel Laboille-moresmau
C'est vraiment trop beau. Amoureux de la Bretagne je suis, et je le resterai!
Jean Frey
Jean Frey
bel endroit en effet mais accès au ponton visiteurs limité à cause de la hauteur d'eau. L'été dernier le placeur m'a (poliment) refoulé à cause des 2 mtr de tirant d'eau. Il indiquait ne disposer que d'une ou deux places avec un tel TE.
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Gilles Disint
Gilles Disint
Cela va sans dire mais ça vencore mieux en le disant..
Gérard Blondel
Gérard Blondel
Un équipier, au milieu du voilier, qui répète les paroles de celui qui s'occupe du mouillage et celles de celui qui est à la barre, s'avère une bonne solution.
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La face visible de mon armement de sécurité, le radeau installé sur le rouf

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Tempête en Corse en 2022

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Sanna bay, en Ecosse, le lieu de l'accident de navigation d'Arthur

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Claude Gragnolati
Claude Gragnolati
il y a des miracles
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