Le chantier Catana a lancé cette gamme de bateaux pour répondre à une demande de voiliers destinés à la location. L'implication de Dream Yacht Charter dans la définition du cahier des charges en est la preuve. Contrairement à la gamme Catana, Bali s'affiche comme des bateaux pour vivre des vacances. Pas de manœuvres compliquées (on oublie les dérives signe de performance), le trampoline à l'avant remplacé par une structure en dure avec un grand cockpit, toutes les manœuvres de voiles (il en reste un peu tout de même !) exportées à l'extérieur du cockpit pour ne pas gêner les passagers.

C'est sur l'emplacement du poste de barre qui change tout entre les deux bateaux. Pas seulement pour la place du skipper/capitaine, mais sur l'organisation à bord. Sur le 4.3, la barre est installée au-dessus du rouf. Les manœuvres reviennent directement du pied de mât devant le barreur qui a une vision totale sur tout le bateau sauf un peu vers l'arrière qui reste masqué par le rouf. Les manœuvres de port en seront facilitées et en navigation sous voile, on peut garder un œil sur les réglages. Cette disposition libère entièrement le dessous au niveau du pont. L'architecte a donc pu imaginer un espace unique qui se ferme à l'aide d'une grande porte rigide (rangée sous le toit en position ouverte). Cet énorme bloc cloison/porte se manœuvre à l'aide un moteur électrique. Facile ! Sur les côtés, des panneaux vitrés coulissants assurent la fermeture. Ainsi en 2 minutes, le cockpit qui était ouvert, se retrouve partie intégrante du rouf.



/ 































